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guerre d’ukraine - Page 2

  • UN VANVEEN EST AU CŒUR DE LA GUERRE D’UKRAINE

    Parmi les journalistes vivant à vanves, l’un d’entre d’entre eux, Cyril Payen est l’envoyé spécial de la chaine France 24 à Kiev. Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe, il raconte sur cette chaîne les  effets de cette guerre et de ses implications sur le terrain, des bombardements intenses, de la résistance des ukrainiens de cette ville fantôme, et notamment à Irpin dans sa banlieue : «Ici, il y a toute une population de résistants. Il y a encore des familles dans des bunkers. Toute la ville est en résistance» expliquait Cyril Payen depuis la rue principale d'Irpin, à 20 kilomètres de Kiev, voilà quelques jours

    « Des civils sont toujours évacués vers la capitale, mais les résistants n'abandonnent pas le terrain, en dépit des tireurs d'élite de l’armée russe positionnés à seulement 500 mètres. Cette ville est attaquée en permanence. Nous sommes du côté toujours tenu par les forces ukrainiennes, mais les tanks russes sont à quelques centaines de mètres» rappelait Cyril Payen, à quelques heures du début du sommet europée de Versailles qui a été  largement consacré à la guerre en Ukraine. Il a interviewé le président Zelensky  au cœur de la ville de Kiev ses derniers jours.

    Cyril Payen est un véritable correspondant de guerre aujourd’hui en Ukraine, hier en  Afghanistan pour France 24. Il est l’un des derniers journalistes à avoir quitté ce pays après le retour des talibans. Un autre journaliste vanvéen a couvert des conflits aussi brûlant devenu un spécialiste de l’Afrique et du moyen orient pour l’Express : Vincent Hugeux que des vanvéens ont pu rencontrer lors de dédicace de ces livres

  • VANVES ET LA GUERRE EN UKRAINE : VERIFICATION DU BON FONCTIONNEMENT DES DISPOSITIFS DE CRISE

    Les préfets de zones de défense chargés d’anticiper et de gérer les crises, vérifient actuellement le bon fonctionnement des dispositifs de crise actuellement à cause de la guerre en Ukraine. Le préfet de police Paris  a demandé ces derniers jours à ce qu’un certain nombre de vérifications soient faites en Ile-de-France selon une information donnée par Europe 1, comme le recensement des abris souterrains, dont la localisation est protégé par le secret défense,  la vérification des sirène qui retentissent chaque premier mecrredi du mois,  ou les stocks de tenues de protection chimique. L’objectif est de s’assurer que les dispositifs de gestion de crise fonctionnent bien, dans un contexte de guerre en Ukraine, une procédure de vérification classique guidée par le principe de précaution.

    Ainsi, ses services se sont replongées dans le plan « Orsec Iode»  car en cas de risque radioactif des capsules d’iodes devront être acheminées et distribuées des lieux de stockages jusque dans les foyers des Franciliens via des pharmacies et les points de distribution.  Les policiers et les pompiers vérifient depuis la semaine dernière, dans leurs stocks que les tenues de protection au risque NRBC (Nucléaires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques) sont opérationnelles et qu’elles sont en nombre suffisant. Selon les informations d‘Europe 1, d’autres zones de défense ont, elles aussi, pris des mesures de précaution similaires ces derniers jours. Comme dans une région côtière où la sécurisation a été renforcée aux abords des ports, des aéroports et des centrales nucléaires.

    Enfin, selon une note du ministère de l'Intérieur, les préfets français dont celui ds Hauts de Seine mais aussi de la Région Ile de France,  ont été appelés au début du conflit, le 24 Février à la «vigilance face à un risque de cyberattaque élevé», et ne doivent pas s'éloigner de leur lieu d'affectation, dans le contexte de l'invasion russe en Ukraine. Il leur était en outre demandé de s'assurer «de la disponibilité de l'ensemble des services mobilisés et mobilisables» en veillant toutefois à ne pas «susciter de réactions disproportionnées». Le risque de cyberattaque est élevé était-il en outre écrit dans la note : «A ce stade aucun effet spécifique lié aux évènements en cours n'a été observé sur nos réseaux et nos systèmes d'information, mais une grande vigilance s'impose néanmoins de la part de tous». Cette note demande aux préfets de rappeler aux agents de veiller au respect des «règles d'hygiène informatique essentielles» et indiquait que le centre de cyberdéfense du ministère de l'Intérieur passait en «vigilance renforcée».